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17 septembre 2021

Le message de Scobie

Scobie Ryder est un ami de longue date. Old fellow, old follower qui un jour, par sa phrase " Star un jour, star toujours " et une discussion dans mon anglais approximatif, m'a donné la force de renaître, de ne pas lâcher le morceau et même de repartir dans une vie éclairée par la création artistique. Si notre regard sur le monde est assez similaire, Scobie, lui, a la classe internationale. 

3 octobre 2017

Blade Runner & Cyberpunk

Le Cyberpunk (association des mots cybernétique  et punk) met en scène un futur proche empreint de violence et de pessimisme  dans une société technologiquement avancée, aseptisée et froide. 



                    « Le courant cyberpunk provient d'un univers où le geek et le rocker se rejoignent, d'un bouillon de culture où les tortillements des chaînes génétiques s'imbriquent. » Bruce Sterling




On considère souvent le Sony-Center situé sur la Potsdamer Platz à Berlin comme le symbole architectural et presque unique du cyberpunk.
  (Architecte: Helmut JAHN . Charpente: 700 tonnes d'acier,  3500 m² de verre. Hauteur : 103 mètres . 26 étages de bureaux . Surface habitable: 132 500 m² .  Surface au sol: 26 500 m ². Siège européen de Sony . Achevé en 2000) 

Librement inspiré du livre de Philip K Dick « Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? » Blade Runner (1982) de Ridley Scott est le film qui décrit le premier (et le mieux) cet univers souvent glauque du monde ténébreux qui nous pend au nez :



L'histoire: Alors que des milliers d'hommes et de femmes partent à la conquête de l'espace, fuyant les mégalopoles devenues invivables, une nouvelle race d'esclaves a vu le jour : les répliquants, androïdes que rien ne peut distinguer des humains. 
Après la première mutinerie dans un vaisseau spatial, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont déclarés " hors la loi ". L'unité spéciale des blade-runners, est alors chargée de les éliminer. C'est le personnage qu'incarne Harrison Ford qui doit « désactiver » les 6 derniers répliquants dans un Los Angeles déglingué et corrompu.  

6 août 2015

NOTAV : Lutter plus que jamais !

On nous met dans la tête, avec l'aide des médias à la botte de nos maitres, que la ligne TGV Lyon-Turin devrait finalement  et inévitablement voir le jour.

Je me suis intéressé, presque par hasard, à cette aberration économique, sociale et environnementale qui peu à peu devient le plus gros des outrages au peuple de toute l'Histoire européenne.

Très peu de temps après,  j'ai vu quel traitement l'état italien (berlusconien à l'époque) infligeait à des gens paisibles, souvent âgés, qui n'aspiraient qu'à vivre tranquillement le reste de leur âge.

Une dangereuse terroriste Notav


Le peuple du Val de Suse ne veut pas de ce projet pharaonique qui détruira leur belle vallée. Ils disent non à la dilapidation de l’argent public; Non encore aux campagnes de criminalisation et aux accusations de terrorisme dont ils font régulièrement l'objet dans les médias corrompus.


La résistance est maintenant organisée et s’appelle NOTAV.

En France, les opposants sont encore peu nombreux, les " Crétins des Alpes " voyant même dans ce chantier une bonne occasion de se faire du fric. 
Il est vrai que les premières indemnités d’expropriation  étaient plutôt juteuses (pour les opportunistes proches du dossier).
Encore plus naïfs, certains mauriennais se  voient déjà embauchés comme tunneliers. Une simple réflexion sur l'affaire Bouygues et l'EPR de Flamanville leur démontrerait le contraire. 
D'autres, carrément benêts, rêvent au développement des sports d'hiver, avec des TGV dégueulant leur flux de touristes sur St Jean-de-Maurienne.
.C'est vrai  que pendant 15 ou 20 ans, il va falloir l'aimer cette vallée poussiéreuse pleine de camions (ceux qui empruntent déjà le tunnel routier du Fréjus, et bientôt aussi ceux (à benne) qui charrieront les gravats issus de l'excavation..
Qu'elle va être belle la neige des quelques modestes stations de ski mauriennaises où déjà, même à grand renfort d'artifices les choses, tournent au tragique !

Photo de la station de la Norma, pourtant réputée pour son enneigement, le 11 janvier 2015

L'avidité légendaire de ses habitants, le bourrage de crâne médiatique, un chantier d'une vingtaine d'année, au moins, et le non report rapide du trafic des camions sur les rails (alors qu'il est possible en trois mois) vont faire de la vallée de la Maurienne un endroit invivable.

1 juillet 2015

Grenoble : Donnons une chance au futur !

Normalement, l'Humain, à partir d'un certain âge, se distinguent, par sa capacité d'imagination, à envisager le futur proche et à s'y projeter, mais il se doit aussi de penser à des futurs plus lointains, ceux où vivront les générations futures.  L'Homme peut ainsi développer des stratégies anticipatrices, individuelles et parfois collectives, pour le long terme, c'est là qu'est l'enjeu principale de la gouvernance.

Sa motivation principale devrait être, par l'instauration d'une dynamique sociale collective, un accès à l’information et la Culture pour tous, la gestion efficace des ressources, la reconnaissance des générations passées et futures, la protection de l’environnement et le développement durable.

Si la prospective est la démarche consistant à estimer les probabilités des scénarios possibles sur le court (voire moyen) terme, la futurologie travaille sur une plus longue période, à partir des données socio-économiques.

Parce qu'à Grenoble, on a toujours été en avance, on voudrait essayer des choses :



N'oublions pas le rôle incontestable que la toile a joué en faveur d'Éric PIOLLE et la mobilisation extrême de cette force, par essence démocratique, et non (encore trop) censurée, qu'est internet. Si PIOLLE avait dû compter sur les médias traditionnels (comme le Daubé, dont émane ces 5 vidéos et qui maintenant lui trouve toutes les vertus) pour un quelconque soutien, on y serait encore.

Par définition, le futur n'est jamais écrit, comme aurait tendance à le laisser entendre certains, et si on est bien, à Grenoble, dans l'apport de supports démocratiques nouveaux et réellement citoyens (évidemment à peine évoqués dans les 5 films). Attention à ne pas les sous-estimer !

Si, en son temps, Alain CARIGNON avait eu la machiavélique intelligence de vouloir contrôler la ville de manière quasiment autocratique, Éric PIOLLE, lui, a tout intérêt à se rapprocher de ces obscures qui sont, en fait, le ferment de son élection, les HISTORIQUES de la lutte grenobloise. 

Les moyens individuels de scrutation de la vie politique d'une ville sont aujourd'hui très différents de ce qu'ils étaient jadis. Ne l'oubliez pas car nous, nous ne l'oublions pas, nous ne pardonnons pas, redoutez-nous, car nous sommes légion. 

Bien avant le brouhaha généré pas l'illusoire arlésienne de la participation citoyenne qui voudrait nous faire croire que chacun aurait son mot à dire quant à la gestion de la ville, nous avons voté pour un Eric PIOLLE qui nous parlait d'écologie et de pureté de l'air.

Allez courage Monsieur le Maire ! 


En raison des conditions météo et de l'usage quasi généralisé du diesel dans les moteurs des voitures, l'air est devenu irrespirable. Les réseaux de transports en commun de Grenoble, sont gratuits les jours de pollution (sauf pour les vertueux abonnés qui payent toute l'année pour utiliser le tram ou le bus mais aussi l'entretien de la voirie par les impôts locaux). 

Ne faudrait-il pas penser à une gratuité permanente des transports en commun sur l'agglo, financée par un péage urbain ?

Cela permettrait, peut-être, aussi, un réel changement des comportements vis à, vis des modes de transports individuels sur le long terme et de retarder d’autant les prochains pics de pollution. 

24 avril 2015

Charlie et la turbine à chocolat

Une triste affaire , qui avec toute la violence qu'elle a déjà générée (et va encore générer)  tombe à pic. Elle est tout sauf un hasard: nous sommes les promoteurs de cette société hyper violente où écraser l'autre est  la meilleur des choses.
Quand même les sentiments, l'indignation ou la réflexion sont médiatisés et face au risque d'exclusion d'un système pourtant au plus haut point vérolé, à quoi sert de nous indigner ou de pleurnicher ?


Nous parlons de laïcité mais jamais de Dieu. Nous parlons de liberté d'expression sans savoir ce qu'est la Liberté. Nous nous raccrochons à des branches pourries avec la douce illusion que nous allons, nous, nous en sortir. Les autres, on s'en tapeFermons nos gueules et penchons nous en avant en nous écartant légèrement les fesses.  Honorons nos Maîtres et fermons nos gueules ! Les moutons n'ont pas droit au chapitre.


Combien y a-t-il de Cabu dans les hôpitaux psychiatriques ?

6 mai 2014

Grand Meeting Nouvelle Donne ce mardi 6 mai au Prisme de Seyssins


Chômage, Précarité, crise climatique… Quelles solutions ?
Mardi 6 mai Débat public à Grenoble

Mot d’accueil d’Eric PIOLLE, maire de Grenoble
Pierre LARROUTUROU, économiste
Bruno GACCIO, auteur
Isabelle ATTARD, députée
Jean Pierre RAFFIN ancien Pdt France Nature Environnement
Hervé FALCIANI, lanceur d’alerte anti-Paradis Fiscaux, Tête de liste Parti X en Espagne
Anne-Sophie OLMOS, Adjointe au Maire Grenoble
Jean-Baptiste COUTELIS, tête de liste Nouvelle Donne Région Sud Est
Véronique LACOSTE, deuxième sur la liste Nouvelle Donne Région Sud Est
Et VOUS.

A partir de 20h ! Nous vous attendons nombreux.

3 janvier 2014

Argent électronique et pénurie de cash

L'année n'a pas 3 jours et, dans les stations savoyardes, les commerçants râlent déjà : une grève des convoyeurs de fonds qui ravitaillent normalement les distributeurs de billets, les obligent à utiliser les cartes bleues (même pour une baguette) :

Fini le " black " en ce début 2014 !


11 octobre 2012

Lèse Béton !!!



On dit que le marché n’a pas de mémoire mais rappelez vous il y a 4 ou 5 ans :
Laforêt, FNAIM, CIC, notaires, le gouvernement, et même notre petit président, invitaient tout le monde à investir au plus vite dans la pierre, jusqu'à nous faire croire qu'il ne fallait pas louper son tour sous peine d'être un pauvre loser de locataire toute sa vie.

« Investissez tout de suite, disaient ils. Ce n’est pas un mauvais placement. La pierre ne peut qu'augmenter. L’immobilier prendra encore et toujours de la valeur. Des belles courbes à la loupe. Des rendements de 10% à l'année … ».
Tout était bon pour donner l'illusion et le rêve !
« Impossible que le marché immobilier baisse, c'est du solide ! »

Rappelez-vous (enfin mes quelques fidèles lecteurs ...), je vous avais demandé en 2007 si les arbres allaient jusqu'au ciel.

Depuis, le marché à bout de souffle a bien cherché des subterfuges pour retarder un retournement qui semblait de plus en plus proche. (Prêts à taux 0, 1% patronal, facilité de crédit et taux d’endettement partout revu à la hausse). 

Aujourd’hui, on peut être vraiment être inquiet. La dévalorisation brutale de l'immobilier diffuse lentement ses effets pervers.
Les accédants à la propriété d’alors, ceux-là même qui pensaient qu'un jour ils auraient à payer l’ISF à cause de leur pavillon, peuvent légitimement craindre de surpayer leur logement et de boire un bouillon financier.
L'urgence et l'incertitude, qui caractérisent notre époque formidable, nous montrent que plus rien n'est stable.  D'autre part, je n'ai jamais compris comment, en des temps où divorce, mobilité professionnelle voire chômage sont monnaie courante, on pouvait si facilement s'engager sur un crédit de 25 ou 30 ans.    

Je serais très curieux de savoir, quel discours peuvent, maintenant, bien tenir les banquiers et les agents immobiliers à leurs anciens clients qui sont tombés dans le panneau; car ils vont désormais voir leurs biens se dévaluer et continuer à payer pour un mirage …


4 janvier 2012

Hier soir à 20:00, discussion avec Paul JORION via Opinews


Paul JORION, né le 22 juillet 1946 à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie. Il est l'un des rares commentateurs économiques à avoir anticipé la crise des subprimes américains de 2007 et le risque de récession mondiale qui en a résulté, dans son ouvrage Vers la crise du capitalisme américain.
Source : Wikipédia 


J'étais un peu intimidé de discuter avec Paul Jorion, effrayé même à l'idée de ne pas être à la hauteur (je ne sais d'ailleurs pas si je l'ai été) mais comme tous les grands personnages, il a eu la simplicité et la gentillesse de me mettre à l'aise. 
Aujourd'hui, je ne sais pas si la vidéo de cette brève rencontre sera disponible un jour mais j'en garderai un souvenir ému ....

[ à suivre ].

11 octobre 2011

La lutte syndicale a-t-elle encore un sens ?


Aujourd’hui, au sens marxiste du terme, les riches sont la seule classe sociale à perdurer. Une caste mobilisée sur tous les fronts et tout le temps pour la défense de ses intérêts.
En face, avec la désindustrialisation et les délocalisations massives, l’individualisme est hélas devenu prédominant dans les classes ouvrière et moyenne.
Warren buffet disait : « Nous sommes passés de la lutte des classes à la guerre des classes et cette guerre, c’est nous les riches qui sommes en train de la gagner ».
La saturation de l’espace médiatique par les classes dirigeantes fait que le peuple n’a plus la possibilité de faire sa propre analyse.
Les gens oublient que les riches ne représentent même pas 1% de la société française.

De la part des jeunes, on a quand même une réaction. Eux que l’on croyait condamnés à la culture de l’instantané sont en train de nous donner une bonne leçon politique et révolutionnaire.

Même si, pour l’instant, on a plutôt affaire à une sorte de magma primitif par le refus de cette situation débile, les organisations syndicales, elles, sont assez préoccupées de voir partir la mobilisation en dehors de leur aire d’influence.
Non, seulement, elles ne sont pas à l’origine de ces mouvements, mais n’en font même pas partie.
Les jeunes Européens (les Indignés) ne considèrent  pas les syndicats comme les porte-parole naturels de leur protestation.
Parce qu’ils font aujourd’hui partie du système qu’il faut combattre, les syndicats ne représentent plus rien aux yeux de la jeunesse.
Il n’y a plus, pour le moment, de grandes idéologies alternatives à l’économie de marché et ce n’est certainement pas le marxisme pur et dur des syndicats qui s’imposera, car ils ne défendent que des droits aux quels les plus démunis, les plus précaires, n’accéderont jamais.  

25 septembre 2009

Low cost

Argument de marketing, voir philosophie de vie, le low cost est insidieusement rentré dans nos vies, petit à petit, l’air de rien, il y a quelques années, tirant les prix vers le bas mais aussi notre perception du confort et du bonheur.

Ce fut la nourriture qui fut la première impactée; la grande distribution, sous couvert de tarifs réduits, mais avec une qualité vraiment médiocre, nous a conduits sur les chemins de la malbouffe, de l’obésité et des maladies comme l’encéphalopathie spongiforme bovine.
Puis ce furent les voyagistes et les compagnies aériennes qui, sacrifiant le confort et la « belle » prestation, nous ont emmenés à l’autre bout du monde pour trois fois rien où on nous offrait des hébergements vraiment chip créant le tourisme de masse dans son horreur et sa vulgarité. Puis vinrent l’habillement low cost, la hifi, l’informatique, l’ameublement, les voitures, les logements, les Telecom réduisant les prestations et rognant de plus en plus sur la qualité.

Les conséquences furent que l’on consommait tout et n’importe quoi, de plus en plus avidement avec de moins en moins de discernement, goulument et sans complexe.
La chasse au prix les plus bas a également conduit les industriels à produire nos biens de consommation dans les pays où les salaires étaient les moins disant (Asie du sud-est, puis Chine) au détriment de la compétence et du savoir-faire des exécutants, enclenchant l’infernale spirale.
La qualité finale s’en ressentait, mais « à ce prix » on ne pouvait pas non plus attendre des miracles.
Alors, on en rachetait, encore moins chers, encore moins durables, chaque fois de plus en plus blasé.
Des générations entières ne sauront jamais ce qu’est un produit de qualité et, aussi, et c’est plus grave, puisque tout est disponible pour tout le monde, n’auront jamais cette joie d’obtenir quelque chose après l’avoir vraiment désiré.
Suivant la théorie selon laquelle ce qui n’augmente pas est irrémédiablement appelé à régresser, le lowcost ne nous maintiendra pas longtemps dans notre petit confort consumériste.
Le « moins cher » exclue tout progrès tant technologique que social, toute règle éthique et tout respect de l’autre ou de l’environnement.
Pour gagner notre beefsteak prionisé (quotidien !!!), il nous faut maintenant accepter de voir notre train de vie se réduire, allant même jusqu’à manger de la merde.
Le low cost (terme anglais signifiant « bas coût »), est un modèle économique. Il a pour principe de répercuter, sur le prix final au consommateur, la minoration des coûts inhérents à un produit ou service. Ainsi, une entreprise se basant sur ce concept, cherchera à proposer des prix attractifs en minimisant ses coûts fixes et ses coûts variables.
La démarche du low cost est dans une certaine mesure l'inverse de celle de la montée en gamme.

9 juin 2008

Méchante envie de rire


e me réjouis presque aujourd’hui de voir dans quel bordel vont être ceux qui ont cru au rêves véhiculé par les politiques, les médias et les arnaqueurs en tout genre.

Après s'être fait ronger ce qui leur restait d'esprit critique, tous ont préféré, bêtement, adhérer à la sacro sainte «pensée unique», au mirage de l’intérêt personnel et au culte de leur petite personne.

Mais, maintenant, ily  a un hic !

Aujourd’hui, la crise que je pressent depuis plus de 5 ans est arrivée et, malheureusement, ce sont les les plus modestes qui vont en pâtir.
Les plus modestes ? Sûrement, mais la majorité des crétins aussi.
Tous ceux qui ont voulu péter plus haut que leur cul. Tous ces péquenots, avec leur villa de lotissement minable à Perpète-les-Oies et leurs 3 voitures à crédit, sont condamnés à bouffer, au mieux, des nouilles ou des patates jusqu’à la fin de leur vie.
Finies, les vacances au VVF de Palavas-les-Flots, les menus enfants quand on allait au restaurant … Même ça c’est devenu trop cher.

Nombre de ménages ayant cru en la société du crédit et de la consommation commencent à comprendre que les arbres n’iront pas jusqu’au ciel et sont maintenant endettés à vie.

Même si je sais que ce n'est pas cool, je ne les plains pas.

Mort de rire quand je vois ceux-là même qui ont voté Sarkozy demander à l’état une aide pour payer leur toxique gasoil. Mort de rire, encore, quand ils me disent qu’ils n’ont pas les moyens de faire grève et qu’ils ont trop d’échéances en début de mois.
Mort de rire car ils commencent à comprendre, qu’il y a un peu plus d’un an, ils ont voté pour le pire des libéralismes.

Un modèle de société s’écroule mais il est trop tard.