Affichage des articles dont le libellé est my beautifull selfish. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est my beautifull selfish. Afficher tous les articles

17 mai 2023

Ce qui ne me tue pas me rend-il plus fort ?

« Qui n'a pas connu ces moments de crise où tout pourrait s'effondrer ?

Ne pas fuir ces moments de crise où l'on se sent si déstabilisé et où le sol semble se dérober. 

Au contraire, par une attitude radicalement nouvelle, nous détendre, apprécier l'inédit et l'absence de terrain défriché. Faire face aux situations difficiles. Trouver, dans leur résolution, un sentiment de profonde satisfaction et de sécurité que les aléas de l'existence ne pourront plus remettre en cause. Utiliser les émotions douloureuses pour cultiver le courage, la sagesse. Nourrir puis chérir cette capacité à résoudre les problèmes.

Trouver du bonheur et de la force en acceptant les dissonances et les fausses notes de l'existence parce qu'elles agrandissent l'harmonie et qu'elles sont sources d'ouverture et de découverte. Et aussi parce qu'elles rendent nos vies moins monotones, elles ouvrent une porte pour inverser nos schémas négatifs. 

Sortir du cadre et travailler sur les situations chaotiques. Se tromper n'est pas grave.  « Sortir des clous » et s'accueillir avec ses faiblesses, s'émerveiller de soi-même et des autres. Mettre les choses qui nous dépassent à notre service. Le Pardon deviendra alors Gratitude.

Faire de l'accident un avantage. Rien n'est figé et même si nous n'avons pas la Sagesse, nous avons le droit d'y prétendre A terme, les temps difficiles du traumatisme nous aident à nous ouvrir à un enseignement qui nous mènera sur un chemin authentique, celui où l'utilisation de nos propres ressources révèlera notre Humanité ». - phase3 sur ZenPunk 

2 janvier 2022

2022 - L'Albedo

Parce qu’il n’y pas de description de la réalité sans une capacité de prédiction de nos propres chemins de vie, la projection dans le futur implique une certaine relecture de nos histoires personnelles en allant jusqu'au traumatisme.. La transe hypnagogique auto-induite, quand elle est maitrisée, le permet.
2021 a aussi été le début d'une période de vie si longtemps désirée.
Elle aurait pu ne jamais arriver à causes des hospitalisations où les médications abiment le corps, aliènent et détournent l'Ame. 
L’Albedo n’est maintenant plus un projet mais la réalité. C’est l’œuvre au blanc.

24 décembre 2021

Les papas de mon cœur :

Mes parents ne me donnaient que peu de signes de reconnaissance ou de légitimité dans les choix que je faisais. Critique à toute mes initiatives, Maman parle encore d'élucubrations quand elle juge ma peinture ou n'importe quoi de ma production sauf peut-être et bizarrement, dans la discipline où je me juge le moins qualifié : la musique.   
Je veux penser quand même penser qu'à part de très rares exceptions, une maman fait toujours de son mieux avec ce qu'elle a pour ses rejetons même si, parfois, elle n'a pas grand chose !


Papa est mort quand j'avais l'âge de 29 ans. Lui n'en avait que 59 et, c'est con car il était à quelques brasses de la retraite. Evidement il m'a longtemps manqué comme quelque chose de coutumier peut manquer. Comme une drogue peut manquer. Puis, peu à peu,  j'ai appris à vivre sans lui. En lui parlant dans ma tête parfois, mais en n'écoutant pas son fantôme parce que son esprit mort ne s'est jamais manifesté. De son vivant, il n'était pas tellement présent dans le foyer. Il passait ses weekends sur son bateau, sur le lac où nous avons dispersé ses cendres à l'automne 1992. La semaine, il bricolait tous les soirs dans son check,  radio amateur et bidouilleur qu'il était, un petit local en soupente que nous appelions " l'estanco ".
Ce que je retiens de mon père c'est qu'il était blagueur et courageux (bien plus que moi). Je ne lui ai jamais dit que je l'aimais. J'aurais dû mais ce n'était pas le genre de mots que l'on disait dans la famille.  Ca aussi c'est con ! 
Aujourd'hui, à 2 doigts de vivre plus vieux que Papa, je me cherche des palliatifs à ce qui m'a toujours tellement manqué , de ce que de lui je n'ai pas hérité : la confiance en moi et des valeurs. 

Ma grande gueule et mon expertise en parrèsia, peuvent, je le sais, me faire paraitre prétentieux ou fou, mais je dois le dire : j'ai plaisir à  approcher ceux que je considère comme des éclaireurs car, comme eux,  je me moque bien maintenant d'être différent du groupe humain où je me trouve. 

 


Être un vilain petit canard, un mec bizarre, passer pour un idiot ou me faire censurer ne me fait plus peur.  Je suis vacciné !

7 juin 2021

Finalement (???)

Ca part dans tous les sens, ça se télescope, s'entrechoque, se diffracte sans jamais se cristalliser, sans jamais se poser .... 

 

Mon tirage du tarot pour la semaine : " L'Arcane sans nom "


L’arcane sans nom est la treizième lame du Tarot de Marseille. Elle représente un squelette tenant une faux, un pied dans une terre noire d’où émergent des têtes, des mains , des pieds et des os. Ce squelette symbolise notre structure, ce qui est essentiel en nous. Il fauche ce qui est passé et fait surgir des choses de notre inconscient, la terre noire. L’arcane sans nom représente le fait de faire table rase du passé et de passer à autre chose. Il ouvre une page nouvelle de notre vie. Il dit non à ce qui est dépassé, obsolète. Image d’une énergie vitale essentielle, il fait du ménage et se débarrasse de ce qui entrave, de l'inutile. Il structure et s'organise pour aller de l’avant. L’arcane sans nom symbolise une action radicale et une transformation profonde de notre existence. C’est une source de renouveau


Alors, je trie. Je range. J'élague. Je fais du vide. Je me transforme en profondeur. Je nettoie mes vieilles idées. Je balaie mes clichés. Je change mes habitudes. Je passe à autre chose. Je tire un trait. Je me restructure et j’avance. Je me tourne vers l’avenir. Je déblaie ce qui n’est plus utile. Je vais à l’essentiel. Tourner certaines pages est parfois difficile car cela demande d’arriver à se détacher du passé et des vieilles idées Cela me rend agressif et blessant. Je dois faire des deuils. C'est très radical mais ma santé est à ce prix. 

2 avril 2021

Ce monde parfait !

Réédition augmentée du 23 novembre 2016

« Il faut mettre la société au service de l'école et non pas l’école au service de la société » disait Gaston BACHELARD. Pourtant, aujourd'hui, l’école nuit au développement personnel des enfants. Elle prône, de plus en plus tôt, une mise en phase avec un model unique, vise l’optimisation de la performance et laisse de moins en moins de place pour la réflexion, le sentiment et l'expression.


Formater les enfants pour en faire de bons conso-acteurs et appeler cela l’ « intégration sociale » est une supercherie: Le moule scolaire interdit toute dérive idéologique autre que celle qui prône l’ultralibéralisme à tout crin et la consommation de masse.



L'Histoire, la Philosophie, les Arts ou la Littérature ne seront bientôt plus dispensés dans les écoles car ces matières peuvent éveiller la curiosité des plus jeunes et risquent, par la suite, d'en faire de vilains réfractaires.

La différence, cette source d'inspiration et de créativité, pourtant tellement vitale pour changer ce monde en pleine déliquescence, n'est plus admise.

Les restrictions imposées aux enfants font parfois penser que l'autisme serait une réponse presque reptilienne du tout petit face à l'agression sauvage dont il est victime. Avec son classique repli vers un monde personnel meilleur, l'autisme serait, alors, le premier refuge de la conscience naissante.
Accepter ou pas un monde qui place l'argent, le pouvoir et la violence comme les plus belles des valeurs est une option de vie que l'on devrait pouvoir mûrir librement. Ce choix est pourtant interdit et est même répréhensible. Les programmes de l'Education Nationale sont obligatoires jusqu'à l'âge de 16 ans . Ne pas y adhérer est un pari dangereux où le jeune adulte insoumis risque de se voir renvoyé sur le banc de touches de manière violente et rapide.




La loi et la justice protègent la société contre ceux qui ne se conforment pas aux règles imposées par les plus puissants. La sanction la plus courante demeure l'emprisonnement mais, de tout l’arsenal juridique, les soins psychiatriques sans consentement et plus particulièrement l’hospitalisation d’office (appelée aujourd’hui « soins psychiatriques sur décision d'un représentant de l'état ») sont les plus abjects. Sous prétexte d'une déviance, ils répondent, à l’avance, et souvent arbitrairement, à une éventuelle mise en danger du système par ceux qui pourtant le constitue et pourraient même le faire évoluer demain.

« Sur le fondement d'un certificat médical circonstancié émanant d'un psychiatre, le préfet prononce par arrêté l'admission en soins psychiatriques d'une personne dont les troubles mentaux nécessitent des soins, compromettent la sûreté des personnes ou portent gravement atteinte à l'ordre public », ainsi, sans qu’aucun reproche ne puisse lui être fait, hormis celui de ne pas penser « comme il faut », les psychiatres, souvent avec l’aide de la police, se chargent du sale boulot et de la « reconduite dans le droit chemin » et de faire ré adhérer le déviant au modèle. La psychiatrie est le bras séculier des lobbies et des politicards. Elle incarcère et reprogramme les plus rebelles d'entre nous sous prétexte, qu’un jour, ils pourraient être dangereux. 

Quand le dispositif psychiatrique se referme, nous comprenons que nous venons de nous faire prendre et que notre calvaire durera jusqu’à la mort. Notre vie sera différente de celle que nous projetions et notre destin sera bouleversé. 

Plus nous nous agiterons, plus nous protesterons, plus nous tenterons de nous justifier, plus violente sera notre souffrance. 

De la contention aux neuroleptiques, l’arsenal barbare de la psychiatrie est vaste et puissant.
Les plus rétifs, mutilés par l'ablation d'un bout du cerveau, seront définitivement transformés en de dociles légumes. Malgré toutes les croyances, la lobotomie est toujours pratiquée. La recommandation 1235 de 1994, relative à la psychiatrie et aux droits de l’homme (Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe) l'évoque et stipule d'ailleurs qu’elle, et la thérapie par électrochocs, peuvent être pratiquées « si le consentement éclairé a été donné par écrit par le patient lui-même ou par une personne choisie par le patient pour le représenter, un conseiller ou un curateur et si la décision a été confirmée par un comité restreint non composé uniquement d'experts psychiatriques ». 




Il faut quelques fractions de secondes et un verre d’eau (ou le temps d'une injection) pour commencer un traitement par neuroleptiques, mais, après, il sera pratiquement impossible de l'arrêter.

La rechute inévitable qu’entraînerait l'arrêt du traitement est l'une des nombreuses épées de Damoclès brandies par le personnel des hôpitaux psychiatriques. L'est aussi celui de l'instauration d’un état de pathologie chronique. Ainsi effrayé, le patient ne pourra qu'adhérer au programme de soins. Comme révélée, il y déjà longtemps, par Henri LABORIT ou Stanley MILGRAM, parler de « neuro-plasticité provoquée » pour créer la soumission n’est pas aberrant. 

La perte de confiance en soi provoquée par l'autoritarisme abusif des personnels de santé trouve ses fondements dans la peur, la menace et l’infantilisation avec tout un contingent de phrases et de gestes qui seraient presque anodins dans un autre contexte. 

La chambre d'isolement est une brimade courante. 

La contention fait qu'à cause du manque de personnel, le patient peut se retrouver sanglé sur un lit pendant plusieurs semaines. On lui mettra une couche culotte et on lui injectera un produit anticoagulant chaque jour. 
La description d'un futur, de toute façon pourri, peut aussi conduire certains patients au suicide. Les psychiatres, bien sûr, diront, alors, que c'est à cause de la dépression liée à la maladie. 

Dans la société, le lien social n'existe plus. Les rapports y sont de plus en plus superficiels et les contraintes de plus en plus fortes mais c'est bien pire dans les institutions. Il y a tellement de misère humaine et de maltraitance dans les hôpitaux psychiatriques que peu arriveront a y supporter un séjour. Le dictât des autorités est tellement lourd qu'il ne peut être qu'abusif et illégitime. 

Soit tu adhères à cette société, soit, comme tu ne peux pas la quitter, la psychiatrie t’en éliminera, sans aucune concession ni le moindre regret.

1 janvier 2017

« L’Existence est parfois difficile, pas la Vie »

                                                   Cette phrase est de Jacques SALOME 

phase3 (ФIII) observe PL,  PL qui mange, PL qui fume,  PL qui se déchire la tête, PL qui gueule, PL qui s'embrouille avec ceux qu'il aime, avec les autres aussi, PL qui souffre. PL heureux ... 
Comment fonctionne PL, en somme, PL qui vie.  


Notion de Conscience individuelle pervertie ( Corps, Cœur et Esprit) :  
Comme pas mal d'enfants, Pierre-Louis naquit pratiquement parfait (Haut Potentiel me dit même X-thophe,  mon pote herboriste). PL était plein de jolies qualités, plein de joie. Mais l'éducation, les habitudes, la routine et beaucoup de déceptions (souvent sentimentales) lui ont fait perdre ces qualités puis, peu à peu, son enthousiasme et son sourire.

L'expérience de la toute dernière et très récente hospitalisation, la pratique de la méditation, aussi, me font prendre cette décision:



  • Apprendre à se respecter à Se regarder avec bienveillance
  • Ne pas négliger l'image que nous avons de nous-mêmes, parce que nous ne sommes peut-être, finalement, que ce que nous renvoyons au monde.  
  • Ne pas se laisser définir pas les autres et savoir dire " NON " aux demandes qui nous coûtent trop. 
  • Ne pas se croire victime car ce qui nous arrive n'est provoqué que par nous-même. 
  • Et enfin, se rester fidèle. (Personnellement, je n'y arrive pas vraiment. De compromis en compromis, j'ai souvent le sentiment de trahir mes propres engagements).

30 octobre 2014

La "Schizophrènie" une réalité alternative


J'ai reçu très récemment, de la part de Yann Doornbos, un exemplaire dédicacé de son dernier essai. Comme expliqué dans la biographie (page 144), il y reprend quelques idées que nous développons, avec mon pote Axel, depuis des années dans Schizomanies

Merci à cet auteur plein d'avenir !

.

        " Les hôpitaux psychiatriques sont en crise. Personne ne s'y repose car il y a beaucoup trop de violence. Dans la « cour de récréation », les médecins semblent dépassés et ils perdent leur bienveillance avec le temps. La chimie neuroleptique passe pour une panacée aux yeux des décideurs et de l'opinion publique mais ces solutions sont très factices. Un vrai handicap pour l'esprit. Une réforme serait nécessaire mais elle n'aura pas lieu. Les budgets diminuent. La violence des jeunes est en hausse dans l'hôpital. Le corps médical manque d'idées et parfois de moyens. Fuite devant l'adversité. Dans ce contexte, tout vrai débat sur la schizophrénie est faussé. Les psychiatres gardent le monopole des discours officiels et contrôlent activement la production d'idées sur le sujet. L'existence d'autres formes de réalité et d'une morbidité extérieure à la personne est systématiquement occultée."

Le lien vers les édition Baudelaire, si vous voulez le commander, [ ICI ]

15 juin 2014

Bonne Fête Papa !

                  Parce que ma femme a eu une césarienne lors de la naissance de notre  premier, j'ai vite été mis à l'heure. Je dois avouer que  ça ne m'a pas tout de suite enchanté parce que j'avais cette foutue idée qu'une maman savait mieux faire avec son bébé qu'un papa .... Foutaise ! Aujourd'hui quand je repense à ces moments à la maternité, c'est avec pas mal d'émotion.



Bien-sur, il y a des hauts et des bas ... surtout beaucoup de questionnements sur l'avenir des voodookids. Mais avec Bilbo, nous continuons à faire de notre mieux et les enfants vont bien (C'est déjà beaucoup !).


Bonne fête à tous les papas (même les "mauvais").

24 octobre 2013

Public Image Limited : Le Retour



Revoir >>> John Lydon sur scène <<< plus de 30 ans après ça fait quand même un drôle de pincement au cœur.
En 1980, nous  étions jeunes, beaux et branleurs. 
Nos années punk ont passé et, comme nous, le gars s'est empatté, a grossi. 

Exit Jah Wobble, Keith Levene. 
John reste le seul membre du groupe de l'époque post Pistols.

Oui, nous étions une belle bande de branleurs et la vie ne nous a pas épargnés

 Mais Putain ! Qu'est ce qu'on s'est éclaté !

23 janvier 2013

50 ans : Nous y voilà !

Je ne croyais jamais y arriver, pourtant, ce soir, j'ai 50 ans.

Confucius disait :On a  2 vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on en a qu'une. "

Oui, ce soir, j'ai 50 ans.


Je n'ai pas de Rolex mais je ne sais vraiment pas ce que je ferais d'un tel objet. Il m'a fallu du temps, 50 ans, pour comprendre ce que l'on m'avais toujours dit : l'important, c'est la paix intérieure, l'amour, la famille, un peu comme sur cette vidéo : 



Voilà, j'ai 50 ans. Encore beaucoup de projets (artistiques principalement). Et puis, il me faudra aussi prendre soin de ma santé, (re)trouver la forme. Ça c'est urgent !  


Bon ! Ce n'est pas tout ça, mais j'ai un gâteau qui m'attend avec 50 bougies à souffler ... 

J'espère juste que Bilbo et les Voodookids ne m'ont pas offert une montre !

9 mai 2012

Manhattan, NYC, le 6 mai 2012

 

Loin de toutes les  préoccupations politiques et électorales et de la France, le 6 mai, nous naviguions en pères peinards du coté de l'Hudson. C'était, ce soir là, la plus grosse pleine lune de l'année 2012.  J'ai pu filmer ce spectacle sur Manhattan.  

25 janvier 2012

Entre la Peste et le Choléra

Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais tous les copains que j'avais à 20 ans ont maintenant disparu. Il devait y avoir un bug dans le programme.






#FAIL



6 août 2011

The Enola Gay day



Enola Gay est le nom de l'avion Boeing B-29 Superfortress qui largua sur la ville d'Hiroshima, Japon, le 6 août 1945, la première Bombe Atomique (Little Boy) utilisée comme arme de guerre.





22 mai 2011

ThePhase3 - Dopamine

Le circuit de la récompense : Toujours dans le but de comprendre la schizophrénie qui m'a touché à l'age de 21 ans et le processus du dérèglement dopaminique lié à cette pathologie, voici une vidéo intégrant une partie scientifique et une autre, semi-artistique, sur le sujet.

11 avril 2011

Aspartame, vous avez le droit de savoir:




Pendant mon hospitalisation à Rocheplane, j’ai souvent taquiné notre diététicienne au sujet de l’aspartame.
Je reconnais qu’elle a toujours évoqué une utilisation modérée et transitoire de ce produit dans le but de couper avec une addiction au sucre.
Ces petites taquineries étaient très amusante, d’autant plus que la dame était très compétente et efficace. Ma courbe de poids et les résultats de mesure d’impédance corporelle (ratio : poids total / masse graisseuse) en témoignent.

L’intelligence et l’adaptabilité sont toujours des valeurs sures en diététique. 





4 avril 2011

Amaigrissement : Début de la 6ème semaine : encore -1,8 Kg

Après, un weekend relativement raisonnable au niveau diététique, la pesée hebdomadaire indique que j'ai encore perdu -1,8 Kg depuis lundi dernier. 
Avec encore un peu d'effort, je pense passé sous le quintal d'ici 1 à 2 semaines ..... ça farte !