24 avril 2015

Charlie et la turbine à chocolat

Une triste affaire , qui avec toute la violence qu'elle a déjà générée (et va encore générer)  tombe à pic. Elle est tout sauf un hasard: nous sommes les promoteurs de cette société hyper violente où écraser l'autre est  la meilleur des choses.
Quand même les sentiments, l'indignation ou la réflexion sont médiatisés et face au risque d'exclusion d'un système pourtant au plus haut point vérolé, à quoi sert de nous indigner ou de pleurnicher ?


Nous parlons de laïcité mais jamais de Dieu. Nous parlons de liberté d'expression sans savoir ce qu'est la Liberté. Nous nous raccrochons à des branches pourries avec la douce illusion que nous allons, nous, nous en sortir. Les autres, on s'en tapeFermons nos gueules et penchons nous en avant en nous écartant légèrement les fesses.  Honorons nos Maîtres et fermons nos gueules ! Les moutons n'ont pas droit au chapitre.


Combien y a-t-il de Cabu dans les hôpitaux psychiatriques ?