Même si beaucoup qualifieront le chanteur de Parabellum comme le " Pape du punk-rock français ", la mort de Schultz est pour moi bien plus qu'un simple RIP :
Par un hasard extrême, l'une des "copines groupies" du groupe, fut ma petite amie fin 1984. La jeune fille se ventait d'avoir été, juste avant d'être avec moi, la compagne du guitariste du groupe, Sven. A l'époque, Parabellum s'appelait " Les Électrodes ", je crois. En tous cas, je me rappelle bien de la K7 de démo pérave (oui, vous savez, une cassette !) avec jaquette genre logo merdique photocopié.
Je me rappelle, donc, qu'en 1984, nous écoutions déjà " La Bombe et Moa", "SVP 08 38" ...
C'était nos jeunes années. C'était il y a trente ans.
J'ai eu la chance de revoir et filmer, il y a 2 ans, le pépère et sa bande dans le bled de mon adolescence lors d'un festival punk. Ce trou, Saint-Jean-De-Maurienne, où, à la l'époque, nous n'étions, avec 3 copines (RIP 2/3 aussi), que 4 keupons
Je n'étais pas encore phase3 mais " Viche " ou " Vicious ".
FUCK'EM ALL! Un petit dernier pour la route ?
... Et tous les cons dirons que c'est la dernière.
Alors que la formule de François Hollande enflamme les réseaux sociaux, et après Valérie Trierweiler, Marilou, 6 ans, met à son tour une petite pièce à celui qui nous déçoit tant.
La France est surendettée. L'ensemble de
l'impôt sur le revenu suffit tout juste à payer le service des intérêts de la
dette, qui est en passe de devenir le premier budget de la nation. Le
gouvernement a échoué à «inverser la courbe» de la dette (comme il s'y était
engagé dès son entrée en fonction) tout autant que celle du chômage.
Faute de réformes majeures ou de croissance
miracle, la part de dette sur PIB devrait franchir le seuil des 100 %
d'ici à la fin du mandat de François Hollande. Parmi nos créanciers étrangers
(qui, rappelons-le, détiennent deux tiers de notre dette), certains fonds et
établissements financiers ont d'ores et déjà commencé à «shorter» (vendre à
découvert) les obligations du Trésor françaises, jugées risquées.
Il suffira d'un événement symbolique, comme une nouvelle
dégradation par une agence de notation, un énième dérapage du déficit ou une
émeute fiscale à la manière des «bonnets rouges», pour provoquer une panique
sur les marchés obligataires, conduisant, comme en novembre 2011 en
Italie, à une crise de régime. Quand la France se verra fermer l'accès aux
marchés, quand les fonctionnaires ne seront plus payés à la fin du mois, quand
le ministre des Finances devra aller à genoux demander une ligne de crédit au
FMI, on réapprendra le sens du mot «crise», si galvaudé aujourd'hui.
Les solutions sont connues, mais la plupart sont
épuisées :
- L'hyper taxation n'est guère envisageable dans
un pays déjà atteint de «ras-le-bol fiscal».
- L'hyperinflation, à supposer qu'elle soit
judicieuse, se heurte au «nein» catégorique de la Banque centrale européenne.
- L'hyper austérité, objet de tant de débats,
arriverait de toute façon trop tard: 50 milliards d'euros, ne
parviendront à peine à diminuer en valeur réelle la dépense publique.
Reste une option, aujourd'hui taboue, mais économiquement
rationnelle et historiquement familière: le défaut de paiement.
Il signifierait que la nouvelle génération refuse de payer pour
l'incurie de ceux qui, parmi leurs parents, ont levé la dette pour financer
leurs dépenses courantes, et devraient finalement assumer leur inconséquence en
absorbant la plus grande partie du choc. D'autre part, le traumatisme du défaut
permettrait à la nation, une fois passée l'humiliation initiale, de repartir
sur des bases nouvelles, en faisant table rase des réglementations qui
aujourd'hui étouffent le pays
Cela est souligné par la Commission du droit international de
l’ONU : « On ne peut attendre d’un Etat qu’il ferme ses écoles, ses universités
et ses tribunaux, qu’il abandonne les services publics de telle sorte qu’il
livre sa communauté au chaos et à l’anarchie simplement pour disposer de
l’argent nécessaire au remboursement de ses créanciers étrangers et nationaux.
Il y a des limites à ce qu’on peut raisonnablement attendre d’un Etat. » Un
gouvernement qui en a la volonté politique peut donc légalement suspendre le
paiement de sa dette et refuser l’application des mesures d’austérité qui
portent atteinte aux droits économiques, sociaux et culturels, de sa population
et hypothèquent sa souveraineté.
Le droit international en vertu duquel le respect et la protection
des droits humains, tels qu’ils sont reconnus universellement par les
conventions internationales, priment sur les autres engagements, comme le
remboursement des dettes et l’application de programmes d’austérité.
Les gouvernements peuvent également invoquer l’état de nécessité et le
changement fondamental de circonstances pour stopper unilatéralement le
paiement de leurs dettes. Mais ces gens sont tellement abreuvés de dogmatisme
qu’ils en ont oublié le bon sens. Cette dette est illégitime, et les
gouvernements l’ont constituée non pour les intérêts de la population mais pour
enrichir les possédants, et en instaurant durablement un fonctionnement libéral
de l’économie et de la société. Cet «Etat» ce n’est pas nous ! C’est
l’instrument, malheureusement, d’une sorte de sainte-alliance des soi-disant «
élites » politiques et économiques, en symbiose presque totale.
La dette des Français est née un matin de 1973 sous la plume de Giscard et de
Pompidou qui disaient : " Le Trésor public ne peut être présentateur de
ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. ". Cela veut dire
qu'on empêche l'état de se servir de son propre argent ( Nos impôts et taxes)
et l'oblige à acheter de l'argent avec de gros intérêts aux banques privées.
Ceci est une véritable escroquerie faite au peuple.
La gauche (et notamment le PS) est totalement hypocrite sur ce sujet. François
Hollande, est le premier défenseur du système monétaire (de même que DSK). Ces
gens-là ont été formatés sur les bancs de l’ENA et de Science Po par des
théories monétaristes dont on voit bien les limites aujourd’hui.
Mais qu’importe, ils arrivent à justifier le fait que la BCE prête aux banques
privées des sommes monstrueuses aux taux les plus bas du marché alors qu’ils
refusent dans le même temps que la même chose puisse être accordée aux états.
Et après, ces mêmes gens vous disent qu’il faut « armer les états face aux
marchés et à la spéculation ».
Lorsqu’un pays comme la Grèce en vient à se mettre à poil devant les marchés et
ses partenaires européens, à devoir privatiser en urgence son patrimoine, faire
reculer les droits fondamentaux de ses citoyens, c’est qu’il y a déjà un
sérieux problème de souveraineté. Mais pire, lorsque tout ceci est défendu,
approuvé, et encouragé par des prétendus « républicains », c’est que, si elle
existe encore, la Démocratie est très gravement malade.
Nous devons annuler cette dette bidon et surtout réclamer les centaines de
milliards dont se sont déjà goinfrés les banquiers. Nous devons nationaliser
les banques et tous leurs avoirs, sans aucun dédommagement.
Ça y est, après bien des nuits d'insomnie à cause du vacarme du chantier, c'est enfin l'inauguration du Tram E.
Comme prévu, le gazon est mouillé :
Le programme des réjouissances >>> ICI < si vous avez, au passage, la gentillesse de mettre un petit " like " sous cette photo, je vous en remercie du fond du cœur.
Oui, le paysage a bien changé sur le cours Jean Jaurès (Libération). Il était gris et pollué. Il est maintenant vert et aéré.
Même si tout n'est pas achevé et s'il manque, à mon gout, encore pas mal de verdure, les trottoirs sont dignes des plus belles Ramblas.
Il y a maintenant du gazon au milieu, et même de la rosée quand on marche dans l'herbe le matin.
A présent, il convient de réfléchir sur la gratuité des transports en commun de l'agglomération grenobloise: un engagement vraiment écologique et citoyen que l'on pourrait financer par un péage urbain. L'usage de nos routes. par les automobilistes qui, pour le moment, n'ont que le souci d'aller le plus vite possible, n'apporte vraiment rien à notre ville, si ce n'est pollution, embouteillages et nuisances sonores. De même, l'accès libre aux transports en commun pour les seuls étudiants, comme promis par la mairie, n'est ni logique (étant donné leur pouvoir d'achat) ni équitable. Cette même gratuité, les jours de pics de pollution, ne profite pas aux grenoblois vertueux qui, eux, parce qu'ils payent, depuis longtemps, un abonnement mensuel ne se voient accorder, au final, aucune ristourne.
Enfin, voici une émission de Télé-Grenoble qui évoque, de manière quasi-exhaustive, les prochaines étapes et les problématiques du déplacement urbain dauphinois >>
Parce que ma femme a eu une césarienne lors de la naissance de notre premier, j'ai vite été mis à l'heure. Je dois avouer que ça ne m'a pas tout de suite enchanté parce que j'avais cette foutue idée qu'une maman savait mieux faire avec son bébé qu'un papa .... Foutaise ! Aujourd'hui quand je repense à ces moments à la maternité, c'est avec pas mal d'émotion.
Bien-sur, il y a des hauts et des bas ... surtout beaucoup de questionnements sur l'avenir des voodookids. Mais avec Bilbo, nous continuons à faire de notre mieux et les enfants vont bien (C'est déjà beaucoup !).
Traitement mensuel : 7 956,87 € bruts par mois. Après déduction de l'impôt européen et de la cotisation d'assurance accidents, il s'établit à 6 200,72 €. Il est ensuite intégralement imposé par les États membres.
Indemnité de frais généraux : 4 299 € par mois. Elle couvre les frais de bureau du député dans son Etat d'élection, de téléphone, d'équipements informatiques et de déplacement. L'indemnité est réduite de moitié pour les députés qui, sans justification valable, n'assistent pas à la moitié des séances plénières d'une année parlementaire. Un député consciencieux gagnera donc 12 255,87 € bruts par mois.
Avantages : le coût réel des titres de transport pour assister aux réunions leur est remboursé sur présentation des pièces justificatives. Les députés européens disposent d'une indemnité annuelle de voyage de 4 243 €. Enfin, le Parlement leur verse une indemnité forfaitaire de 304 € pour chaque jour de présence aux réunions des organes du Parlement. Si la réunion se tient à l'extérieur de l'Union européenne, l'indemnité journalière plafonne à 152 €, car les frais d'hébergement leur sont remboursés séparément.
Chômage, Précarité, crise climatique… Quelles solutions ? Mardi 6 mai Débat public à Grenoble
Mot d’accueil d’Eric PIOLLE, maire de Grenoble
Pierre LARROUTUROU, économiste
Bruno GACCIO, auteur
Isabelle ATTARD, députée
Jean Pierre RAFFIN ancien Pdt France Nature Environnement
Hervé FALCIANI, lanceur d’alerte anti-Paradis Fiscaux, Tête de liste Parti X en Espagne
Anne-Sophie OLMOS, Adjointe au Maire Grenoble
Jean-Baptiste COUTELIS, tête de liste Nouvelle Donne Région Sud Est
Véronique LACOSTE, deuxième sur la liste Nouvelle Donne Région Sud Est
Et VOUS.
Pour aller plus loin, beaucoup plus loin : La vision révolutionnaire de Rifkin sur la production énergétique du futur et sa distribution sont basées sur la collaboration et les réseaux. Les énergies renouvelables, la production individuelle, le stockage grâce à l'hydrogène, les réseaux de transport de l'électricité (Smart Grids) et les véhicules électriques en seront les 5 piliers >>>
Nous ne sommes plus là dans une pensée centralisée et hiérarchisée comme celle de l’archaïque capitalisme mais réellement vers un appel à la collaboration et à la créativité.
Cette 3ème révolution industrielle implique, une fois de plus, d'importants changements de paradigme. Ce n'est pas avec ce pouvoir politique réactionnaire et des industries basées sur une structure pyramidale qui nous maintiennent dans le statu-quo du néo-libéralisme que nous avons une chance d'y arriver.
Même si, je suis convaincu de la nocivité du diesel, je trouve, évidemment, cette méthode stupide, voire débile. Sûrement un justicier des bacs à sable.Peut-être, qu'il y a très longtemps, j'aurai pu agir un peu comme ce sinistre gugusse, en crevant quelques pneus de gros 4x4.
Mais la question demeure :
" Comment expliquer à 80% des automobilistes que le choix du gasoil est une énorme bévue et comment leur expliquer que les particules fines tuent, sans avoir l'air de les agresser ? "
Aujourd'hui, l'âge aidant, je crois d'avantage en la discussion et surtout en la valeur de l'exemple.
Montrons nous vertueux et, peu à peu, par effet "tache d'huile", les autres le deviendront.
L’une des grandes caractéristiques de l’humain est de ne pas admettre que parfois il ne fait pas le meilleur choix. Il manque de distance pour voir que certaines de ses envies, même les plus intimes, ne viennent pas de lui mais de quelque obscure lobbys marketing. Se croire libre, c’est la plus grande erreur du citoyen-consommateur. Admettre ceci n’est pas donné à tous et pourtant c’est ce qui permet vraiment d’avancer. Tout doucement, nous comprendrons que certaines des choses que nous imposent les médias ou la publicité ne vont pas dans le bon sens, celui de la survie de l'espèce.
Mais avant cela, bien des individus en auront fait les frais.
Le 1er Avril 2014, Jean-Luc Mélenchon donnait une conférence sur l'Ecosocialisme organisée par l'association Gaïa, des étudiants de Science Po Toulouse.
Qu'est-ce que l'Ecosocialisme ?
Quelle analyse fait-il de notre société ?
Quelle solution d'avenir propose-t-il ?
- Parce que, comme beaucoup, j'ai mon bulletin de vote du 6 mai 2012 en travers et que je ne peux pas faire confiance à un parti gouvernemental sécuritaire qui lèche le cul du MEDEF.
- Parce que j'en ai assez de voir mes enfants suffoquer dès que la température dehors dépasse les 20°C.
- Parce que, je ne crois plus en la croissance économique à tous prix.
- Parce que je ne veux pas habiter une ville de bureaux où l'humain n'aurait plus de place. - Parce que j'en ai assez des magouilles politico-mafieuses de nos élus.
- Parce que je rêve d'une ville ou la diversité des habitants ne serait pas un problème mais une chance. - Parce que je ne veux pas un flic derrière chaque grenoblois. - Parce que je suis né à Grenoble et que j'aime vraiment ma ville :
En raison des conditions météo et de l'usage quasi généralisé du diesel dans les moteurs de nos voitures, l'air est devenu irrespirable.
Les réseaux de transports en commun de plusieurs villes françaises, dont Grenoble, seront gratuits ce vendredi 14 mars toute la journée.
Belle « mesurette » !
Mais ne faudrait-il pas penser à une gratuité permanente des transports en commun sur l'agglo ? Cela permettrait un réel changement des comportements vis à, vis des modes de transports individuels sur le long terme. Et aussi, de retarder d’autant les prochains pics de pollution.
Une autre question se pose : les usagers vertueux, je veux dire les personnes qui ont déjà un abonnement, se verront-ils appliquer une ristourne sur leur prochain prélèvement ?
Ils sont si peu à avoir le courage de le dire et ainsi d'essayer de briser l'Omerta :
Pourtant, tous les jours, des centaines de tonnes d’eau hautement contaminée sont déversées dans le Pacifique.
Témoins de l’arrivée des déchets du tsunami sur les plages de Californie, des chercheurs tentent d’alerter les autorités. Les scientifiques redoutent les effets incalculables sur la santé des terriens si les poissons du pacifique continuent à être consommés sans contrôle.
Les spécialistes du nucléaire n'ont toujours pas trouvé de vraies solutions pour stopper le déversement des effluents dans la mer. A Tchernobyl, on a sacrifié des 800.000 hommes pour contenir la catastrophe. A Fukushima, on ne connaît même pas la situation exacte à l'intérieur de la centrale. TEPCO et le gouvernement japonnais, qui maintient la population dans l'ignorance, sont le seul moyen qu'ils aient trouvé pour éviter un mouvement de panique qui mènerait à un exode historique et massif. entre 500 000 et 800 000
L'année n'a pas 3 jours et, dans les stations savoyardes, les commerçants râlent déjà : une grève des convoyeurs de fonds qui ravitaillent normalement les distributeurs de billets,les obligent à utiliser les cartes bleues (même pour une baguette) :
Dieudonné qui nous fait rire ou Emmanuel Vals , instaurateur du flicage permanent et de la tristesse française ?
Ici, dans les stations de ski savoyardes (sous prétexte de manque d'effectif de gendarmerie et de sécurité), le préfet fait fermer toutes les discothèques et les bars de nuits.
Je commence à me demander maintenant, si le gouvernement ne cherche pas, finalement à provoquer des émeutes qu'il réprimerait ensuite violemment pour nous mater une fois pour toute
Mais si on se laisse faire on finira tous à l’abattoir.