17 juin 2008

Vive le gas-oil à 5 €uros !


Ces gros culs qui pourrissent notre air veulent être subventionnés par nos impôts. Et après, on s’indignera quand le gouvernement chinois fait payer les balles du peloton d’exécution aux parents du condamné.

9 juin 2008

Méchante envie de rire


e me réjouis presque aujourd’hui de voir dans quel bordel vont être ceux qui ont cru au rêves véhiculé par les politiques, les médias et les arnaqueurs en tout genre.

Après s'être fait ronger ce qui leur restait d'esprit critique, tous ont préféré, bêtement, adhérer à la sacro sainte «pensée unique», au mirage de l’intérêt personnel et au culte de leur petite personne.

Mais, maintenant, ily  a un hic !

Aujourd’hui, la crise que je pressent depuis plus de 5 ans est arrivée et, malheureusement, ce sont les les plus modestes qui vont en pâtir.
Les plus modestes ? Sûrement, mais la majorité des crétins aussi.
Tous ceux qui ont voulu péter plus haut que leur cul. Tous ces péquenots, avec leur villa de lotissement minable à Perpète-les-Oies et leurs 3 voitures à crédit, sont condamnés à bouffer, au mieux, des nouilles ou des patates jusqu’à la fin de leur vie.
Finies, les vacances au VVF de Palavas-les-Flots, les menus enfants quand on allait au restaurant … Même ça c’est devenu trop cher.

Nombre de ménages ayant cru en la société du crédit et de la consommation commencent à comprendre que les arbres n’iront pas jusqu’au ciel et sont maintenant endettés à vie.

Même si je sais que ce n'est pas cool, je ne les plains pas.

Mort de rire quand je vois ceux-là même qui ont voté Sarkozy demander à l’état une aide pour payer leur toxique gasoil. Mort de rire, encore, quand ils me disent qu’ils n’ont pas les moyens de faire grève et qu’ils ont trop d’échéances en début de mois.
Mort de rire car ils commencent à comprendre, qu’il y a un peu plus d’un an, ils ont voté pour le pire des libéralismes.

Un modèle de société s’écroule mais il est trop tard.

26 mai 2008

Nerf Ulnaire :

Le nerf ulnaire commande l’auriculaire et la dernière phalange de l’annulaire. Voici comment les choses auraient pu tourner :


28 avril 2008

Lésion du nerf ulnaire :




Depuis le 22 février, je ressens des fourmillements dans les doigts extérieurs de la main gauche.

Pendant 2 mois, cela me stresse pas mal. Je ne peux plus jouer de guitare. Je suis obligé de suspendre les leçons avec Philippe LENNBACK.

Grâce au Docteur BERNARD, mon généraliste, une investigation est engagée.

Le 25 mars, je passe d’abord un électromyogramme qui révèle qu'il s’agit d’une lésion du nerf ulnaire au niveau du coude, certainement due à ma position de travail car je contrôle des cartes électroniques en appui sur mes coudes pratiquement toute la journée.

Ce matin, je viens de voir un spécialiste de la main, le Docteur COCHU.

Il veut agir vite car la lésion semble importante. Il vient de programmer une intervention chirurgicale (qui consiste à libérer le nerf dans son canal).
Je serai hospitalisé le mardi 6 mai, opéré le 7.
Si tout se passe bien je sortirai le 8 avec une gouttière à porter pendant un mois et un arrêt maladie de la même durée.

13 juillet 2003

Cuba Libre

Je me rappelle du sourire malin et bienveillant du vieil homme, quand à la buvette du Summum de Grenoble surchauffé, il entendit mon " está frío " et de son " hace mucho calor ". 

Ce n'était vraiment la manière dont les hispanisants parlent de la météo avec le verbe " avoir " qui était importante dans ce court échange mais le souvenir de notre voyage à la Havane en 1989 :



Lui-même était déjà la mise en abîme des récits de papa qui, lui, avait eu la chance de prospecter à Cuba au début des années 70. 




"Adiós ! " Hombre sincero de donde crecen las palmas. 
" Hi ! " obèse serviteurs des Gringos,  prêts à tout pour le tourisme de masse et le capitalisme.
" Adiós amigo .... "

***

17 octobre 1986

Le LABO de 1986 à Saint Jean de Maurienne

1986 : Par l'intermédiaire d'un copain et d'un prête syndicaliste, je récupérai un ancien local des scouts de France dans le tabellion de Saint-Jean-de-Maurienne pour y peindre.



Mes copains appelaient mon atelier  « Le Labo ». Pendant un peu moins de trois ans, nous y avons fait de belles fêtes. 






Dire, que le Labo était ma « Factory » à moi et que j'étais une sorte d' « Andy Warhol chez les ploucs » est une chose qui m'amuse encore beaucoup aujourd'hui.

Moins drôle est le nombre réduit des copines et des copains de l'époque encore en vie.

               R.I.P. !