Je me rappelle du sourire malin et bienveillant du vieil homme, quand à la buvette du Summum de Grenoble surchauffé, il entendit mon " está frío " et de son " hace mucho calor ".
Ce n'était vraiment la manière dont les hispanisants parlent de la météo avec le verbe " avoir " qui était importante dans ce court échange mais le souvenir de notre voyage à la Havane en 1989 :
Lui-même était déjà la mise en abîme des récits de papa qui, lui, avait eu la chance de prospecter à Cuba au début des années 70.
"Adiós ! " Hombre sincero de donde crecen las palmas.
" Hi ! " obèse serviteurs des Gringos, prêts à tout pour le tourisme de masse et le capitalisme.
" Adiós amigo .... "
***
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire