Le nerf ulnaire commande l’auriculaire et la dernière phalange de l’annulaire. Voici comment les choses auraient pu tourner :
26 mai 2008
18 mai 2008
28 avril 2008
Lésion du nerf ulnaire :
Depuis le 22 février, je ressens des fourmillements dans les doigts extérieurs de la main gauche.
Pendant 2 mois, cela me stresse pas mal. Je ne peux plus jouer de guitare. Je suis obligé de suspendre les leçons avec Philippe LENNBACK.
Grâce au Docteur BERNARD, mon généraliste, une investigation est engagée.
Le 25 mars, je passe d’abord un électromyogramme qui révèle qu'il s’agit d’une lésion du nerf ulnaire au niveau du coude, certainement due à ma position de travail car je contrôle des cartes électroniques en appui sur mes coudes pratiquement toute la journée.
Ce matin, je viens de voir un spécialiste de la main, le Docteur COCHU.
Il veut agir vite car la lésion semble importante. Il vient de programmer une intervention chirurgicale (qui consiste à libérer le nerf dans son canal).
Je serai hospitalisé le mardi 6 mai, opéré le 7.
Si tout se passe bien je sortirai le 8 avec une gouttière à porter pendant un mois et un arrêt maladie de la même durée.
13 juillet 2003
Cuba Libre
Je me rappelle du sourire malin et bienveillant du vieil homme, quand à la buvette du Summum de Grenoble surchauffé, il entendit mon " está frío " et de son " hace mucho calor ".
Ce n'était vraiment la manière dont les hispanisants parlent de la météo avec le verbe " avoir " qui était importante dans ce court échange mais le souvenir de notre voyage à la Havane en 1989 :
Lui-même était déjà la mise en abîme des récits de papa qui, lui, avait eu la chance de prospecter à Cuba au début des années 70.
"Adiós ! " Hombre sincero de donde crecen las palmas.
" Hi ! " obèse serviteurs des Gringos, prêts à tout pour le tourisme de masse et le capitalisme.
" Adiós amigo .... "
***
17 octobre 1986
Le LABO de 1986 à Saint Jean de Maurienne
1986 : Par l'intermédiaire d'un copain et d'un prête syndicaliste, je récupérai un ancien local des scouts de France dans le tabellion de Saint-Jean-de-Maurienne pour y peindre.
Mes copains appelaient mon atelier « Le Labo ». Pendant un peu moins de trois ans, nous y avons fait de belles fêtes.
Dire, que le Labo était ma « Factory » à moi et que j'étais une sorte d' « Andy Warhol chez les ploucs » est une chose qui m'amuse encore beaucoup aujourd'hui.
Moins drôle est le nombre réduit des copines et des copains de l'époque encore en vie.
R.I.P. !
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