7 novembre 2016

Merciiiiii !

 J'ai eu tellement de périodes de solitudes et de doutes dans ma vie psychique, qu'il n'y a pas à dire, vous m'avez tous bien réchauffé l'âme, le soir du vernissage.

Merci à vous !


Si Judith n'avait pas toujours été là pour me soutenir (et m'engueuler parfois aussi) je ne pourrais pas écrire ces quelques lignes aujourd'hui. Pourquoi ? Parce que j'aurais, à coup sûr, réussi à appliquer ce cher principe l'éphémérité à ma propre existence. Merci à elle.
D'autres n'ont pas eu ma chancemerci à eux, aussi.

Merci également à Mohamed Aouine pour son article le 8 octobre dans le Dauphiné Libéré.


Maintenant, je vais réellement recommencer à peindre.

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