Lors de notre dernière montée sur la capitale en novembre 2010, j'ai eu l'occasion de croiser à nouveau Philippe PERRIN.
Il faisait alors une exposition à la fondation MAILLOL et, comme il a une mémoire d'éléphant, Philippe a raconté à ma femme Judith, deux anecdotes de notre vie :
- D'abord sa visite à l'AFPA, où je suivais des cours d'électronique industrielle en 1988.
- Puis notre "brillante et inflammable" participation à 2 expositions de fin d'occupation de l'école des Beaux-Arts de Grenoble en 1984.
De bons souvenirs c'est vrai mais il a oublié de lui raconter 2 ou 3 choses quand même, notamment, comment il a trahit notre amitié fin 1984. Et pourquoi peu de temps après on m'a vu dans le Vercors sauter à l'élastique. Sale con !