De l'autre coté de la montagne, les italiens ne lâchent rien et le mouvement NOTAV fédère de plus en plus.
Ce projet ne préserve pas l’environnement. Il crée des milliers d’hectares de nouvelles voies sans arbres où sont utilisés les désherbants et en laisse les marchandises circuler sur la route pendant la durée des chantiers. Ce seront des millions de mètres cubes de béton coulés, les émissions de CO2, les rondes de camions de transports de matériaux, les pollutions et les roches entreposées, les pertes de terres agricoles, les destructions d’espèces et d’habitats protégées. Après avoir déjà tari irréversiblement les sources, artificialisé des milliers d’hectares de terres agricoles, il détériore le climat et l’environnement.
Le gain d’émission de CO2 et de gaz à effet de serre ne couvrira pas les émissions du chantier avant au moins 50 ans. L’utilisation correcte des voies existantes permettrait de le réduire immédiatement.
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